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Acheter mes tickets info pratiquesÀ travers les yeux de jeunes enfants, avec humour et émotion, cette histoire nous permet d’aborder différentes thématiques intemporelles.
La vitalité
Quoi de mieux en effet que LA GUERRE DES BOUTONS, emblème transgénérationnel de la joie, de la naïveté et de l’inventivité pour célébrer la vie ? Car même si ces enfants se livrent parfois une guerre sans pitié, ils n’ont de cesse de créer leur propre société faite de valeurs essentielles : la liberté, l’amitié, la solidarité, la débrouillardise, le respect.
L'union fait la force
Très présente, la vertu de solidarité est à la base de chaque action menée par les enfants. Ils nous montrent avec panache qu’il est possible de valoriser chaque personnalité d’un groupe dans la construction d’un projet commun, quel qu’il soit.
La dynamique de collectivité est une des valeurs importantes qui fait de ce divertissement une œuvre riche qui nous fascine depuis plus de cent ans.
L’Enfance
L’enfance c’est avant tout la découverte, sans concession aucune, de la vie. L’enfance c’est la volonté de vivre pleinement les choses, sans nécessairement penser aux conséquences. L’enfance c’est aussi apprendre qu’un jour on la regrettera, l’enfance.
La guerre des boutons est en ce sens une ode poétique à ce paradis perdu qu’est l’enfance, que chacun.e de nous garde secrètement au fond de sa poche comme une sorte de pierre précieuse, qu’on ressort parfois à la dérobée pour en observer les reflets.
Les personnages principaux
Parmi les 17 personnages de la pièce, plus atypiques les uns que les autres, en voici les principaux.
Lebrac
Léon de son prénom est le frondeur par excellence. Il est le chef de son clan, apprécié de tous. Son autorité naturelle ne l’empêche pas cependant d’être à l’écoute de chacun.e, et de laisser chacun.e s’exprimer librement.
Marieke
Elle est la sœur de celui qu’on surnomme Pastèque d’Anvers, à l’égo plus grand que le pays tout entier. Elle ne supporte pas l’injustice, et s’il faut monter au créneau pour imposer ses idées, elle n’hésitera pas une seconde à le faire.
Père simon
Passionné par l’histoire de la Belgique autant que par celle de la création divine, il n’a de cesse de vouloir réunir les deux populations ennemies dans le lieu de paix par excellence : l’église, afin de faire de ces deux villages aux langues certes différentes, une seule et même communauté.
Production, Adaptation et Mise en scène : Damien De Dobbeleer
Collaboration artistique et assistanat production : Melissa Leon Martin
Collaboration Écriture : Gernot Lambert
Assistanat : Tiphaine Vanderhaegen
Assistanat et coaching enfants : Johara Belhmane et Cecile Rittweger
Acteurs enfants francophones (en alternance) : Orlando Vauthier (Lebrac), Basile Catrysse, Leontine Clerbois, Octave Delaunoy, Stanley Dupic, Hugo Gonzalez, Arsène Gillet, Kelyan Kezbari, Thylian Leroy, Maïlyne Peyskens, Sacha Pirlet, Juliette Quinet
Acteurs enfants néerlandophones (en alternance) : Emma Kristin (Marieke), Amira Moerenhout (Marieke), Natan Caluwaerts, Basile Mees, Mathis Schellekens, Lucas Stoefs, Lexi De Wambersie, Lander Verelst, Lore Janssens, Robbe Vandenbussche
Acteurs adultes : Benoît Van Dorslaer (Père Simon), Aurélie Frennet, Pierre Haezaert, Stephane Pirard et Corentin Skwara (en alternance), Saartje Van de Steen
Voix off : Bernard Yerlès
Coach Chant: Manon Hansseuw
Combats: David Leclercq
Scénographie et costumes : Stéphane Arcas et Noémie Warion
Composition musicale : Laurent Beumier
Conseiller Technique : Serge Devergnies
Création Lumière et Régie lumières : Jonathan Kibani
Assistanat régie son : Antoine Pouchoulou
Photographe: Barbara Salomé Felgenhauer
Maquilleuse: Valérie Tomasi
Responsable Communication : MOJO Agency
Responsable Presse : Aurore Dierick
Coordination/Accompagnement : Mathilde Gérard
Casting enfants francophones : Seeking4u, Catherine Israël
Casting enfants néerlandophones : Magali Coremans
Remerciements : Jean-Jacques Flahaux et Pierre Jacob
Avec le soutien du Théâtre Royal des Galeries